Le président d'Engie, Jean-Pierre Clamadieu, a indiqué sur les ondes de RFI que la réalité du moment, est que les contrats de gaz y compris russes sont plutôt à des niveaux très élevés de livraison. Ainsi, une interruption brutale d'achat du gaz russe, est un scénario qui est beaucoup plus difficile, et qui nécessitera des ajustements qui seront probablement eux aussi brutaux. Toutefois, sur un horizon de 3 à 4 ans, la France est probablement capable de réduire de manière très importante sa dépendance au gaz russe.