Selon Reuters, dans un courrier daté du 14 décembre adressé à Nissan, Thierry Bolloré, le directeur général adjoint de Renault, a demandé au conseil d'administration de Nissan d'envisager la convocation d'une assemblée générale extraordinaire des actionnaires, aussi rapidement que possible. En effet, Renault peut se baser sur la mise en examen de Nissan pour justifier cette convocation dans une instance où le groupe français peut faire valoir sa participation de 43% au capital.