Le CAC 40 a corrigé de 0,26% dans le sillage du recul des valeurs bancaires de près de 2% ainsi que de la chure de 6,4% du cours de Renault. En effet, les banques ont pâti du maintien de la politique d'accommodation monétaire par la BCE, ce qui signifie la persistance de taux débiteurs faibles. Pour sa part, Renault a logiquement dévissé après l'abandon par FCA du projet de fusion.