François Asselineau, président de l'Union populaire républicaine (UPR), a jugé assez démagogique, le projet de suppression de l'ENA car le principe du concours pour accéder aux hautes-fonctions, est un principe républicain. Pour sa part, l'ancien président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré a jugé surréaliste la suppression de l'ENA, indiquant qu'Emmanuel Macron sera le deuxième à supprimer l'ENA après Napoléon III. Pour rappel, selon les fuites, l'allocution reportée d'Emmanuel Macron après l'incendie de Notre-Dame, comportait l'annonce de la suppression de l'ENA.