Malgré l’opposition de l’Etat français, actionnaire à 22% d'Engie, le Conseil d’administration de cette dernière a décidé d’accepter l’offre de Veolia pour l’acquisition de 29,9% détenus dans le capital de Suez. Ainsi, malgré ce camouflet, le Premier ministre français, Jean Castex, a appelé mardi Veolia et Suez à poursuivre et approfondir leurs discussions. En effet, l'exécutif français semble favorable à cette fusion mais soigne la forme, de peur d’une casse sociale après la reprise par l’entreprise française, Meridiam, de l’activité Eau en France de Suez.