Selon un communiqué de l'Elysée, lundi 26 août, Emmanuel Macron exclut l'option d'un gouvernement du Nouveau Front populaire, au nom de la stabilité institutionnelle. En effet, selon le président français, le Nouveau Front populaire, serait immédiatement censuré par l'ensemble des autres groupes représentés à l'Assemblée nationale. Pourtant, c’est la coalition de gauche qui est arrivée en tête au second tour des élections législatives en juillet. Sans surprise, la gauche a dénoncé un coup de force antidémocratique inacceptable et une "irresponsabilité démocratique dangereuse". Enfin, Jean-Luc Mélenchon, a précisé qu'une motion de destitution sera déposée.