Le porte-parole du gouvernement grec, Dimitris Tzanakopoulos, a qualifié la fin des programmes d'aides, de nouvelle phase pour l'économie et la société. En effet, la Grèce est officiellement sortie des plans d’aide, suivis depuis 2010. Au total, pour éviter la faillite ou la sortie de l'euro, la Grèce a reçu près de 290 Mrds d’euros, en contrepartie de mesures d’austérité assez drastique. Toutefois, si Athènes a retrouvé un solde primaire hors charges d'intérêt de près de 4% du PIB, ce dernier a perdu un quart de sa valeur, avec chômage qui persiste à 20%.