Le FMI a répondu à la demande d'assistance du Liban, en temporisant et en réclamant de restructurer la dette publique, de renforcer le dispositif fiscal, de renflouer les banques et de réformer les entreprises publiques. En attendant, la monnaie libanaise est en chute libre alors que les épargnants n’ont pas un libre accès à leur argent. Aussi, les licenciements se sont multipliés.