Lors de la séance du mercredi, le cours européen de référence néerlandais du gaz naturel et celui du gaz britannique ont affiché à l'ouverture une hausse inédite qui a atteint jusqu’à 25% avec un niveau équivalent à 200 $/baril pour le pétrole. En effet, à l’ouverture, les investisseurs ont paniqué face à des stocks bas à l’approche de l’hiver dans l’hémisphère nord. Aussi, Vladimir Poutine a pointé l’erreur stratégique des européens qui ont misé sur des contrats de court-terme. Justement, l’apaisement est venu du président russe qui a annoncé que Gazprom est disponible à augmenter ses livraisons en cas de demande sérieuse de la part des clients. Ainsi, le gaz naturel a fini en baisse de -10% même s’il affiche une hausse annuelle de 107% sur un an.