Les prêts accordés pour des investissements climatiques dans les marchés émergents représentent moins de 5% des portefeuilles cumulés des banques. « Ce constat est lourd de conséquences », a révélé un rapport de la Banque mondiale intitulé “Finance et Prospérité 2024”, qui a appelé les institutions financières à accompagner davantage ces investissements dans la mesure où les banques dominent le secteur financier dans les pays en développement.