Selon le Wall Street Journal, Nissan a demandé à Renault de réduire sa participation dans le capital du constructeur japonais. En contrepartie de cette réduction, Nissan pourra soutenir la fusion entr Renault et Fiat Chrysler. En effet, Nissan détient 15% du capital de Renault, ce qui lui permet de bloquer la fusion transalpine surtout que le gouvernement français, tient à associer Nissan au mariage entre Renault et FCA.