Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire a annoncé estimer que le directeur général de Renault doit rester le président de l'Alliance Renault Nissan. En effet, depuis l'affaire Ghos, le clan japonais de Nissan n'a pas caché ses ambition de conduire l'Alliance. Pourtant, si Nissan affiche désormais une taille plus importante que Renault, c'est le constructeur français qui contrôle 43% de son capital.