Selon Reuters et Bloomberg, le gouvernement français aurait demandé au conseil d'administration de Renault d'activer l'option de remplacement de Carlos Ghosn à la tête du groupe vu le nouveau refus de sa demande de mise en liberté. Il faut dire que le gouvernement français fait face à un imbroglio juridico-diplomatique car il n'a pu ni acter la culpabilité présumée de Carlos Ghosn ni réclamer aux autorités japonaises un respect de sa présomption d'innocence.