Hertz s’est mise vendredi sous la protection de la loi sur les faillites, après avoir échoué à honorer une échéance de 400 M$, fin avril sans trouver d’accord avec ses créanciers. En effet, avec une dette 19 Mrds $, l’entreprise, qui détient 700.000 véhicules a été lourdement touchée par la fermeture des aéroports qui généreraient les deux tiers du chiffre d’affaires. Notons que pour le moment, cette faillite ne concernerait pas pour les filiales européennes.