La Banque mondiale a indiqué dans son blog que sur la plupart des grands marchés financiers, les sukuk ne sont pas considérés comme un instrument parmi d’autres. En effet, pour certains investisseurs, les sukuk sont extrêmement complexes et sont uniquement destinés aux marchés émergents. Surtout, les sukuk ont une connotation exotique à cause de l’emploi de certains termes arabes comme ijara et moudaraba. Toutefois, selon les auteurs de l’analyse, les sukuk sont tout simplement un type de titres négociables et il serait bon pour les marchés financiers internationaux que les sukuk soient communément reconnus comme un instrument foncièrement utile et propice à la diversification.