Robert Peugeot, le président du holding FFP de la famille Peugeot a indiqué aux Échos, être satisfait de l'accord de fusion entre PSA et Fiat Chrysler, même si le pourcentage de détention va passer de 12% à 6%. En effet, cette fusion va assurer la pérennité du groupe qui ne pouvait dépendre que de ses ventes en Europe. En particulier, l'entité fusionnée aura des revenus équilibrés entre l'Amérique et l'Europe.