Selon l'Insee, en septembre, le déficit commerical s’établit à -5,7 Mrds d’euros, au même niveau qu’au mois d’août. En effet, à l’importation, une poussée des approvisionnements en hydrocarbures naturels ne peut ainsi compenser les reflux pour les produits de l’industrie automobile, pour le pétrole raffiné et pour les biens intermédiaires. A l’exportation, c’est la fermeté des ventes de produits des industries aéronautique et de l’armement qui constitue l’exception notable, face aux replis pour la pharmacie, les biens intermédiaires, les équipements industriels et les produits des industries automobile et agroalimentaire.